Accusés par un membre de l’Harmonium d’être impliqués dans la disparition d’une des rares personnes sur Sigil ayant quelque lien avec le moyen de regagner leur monde, les personnages se voient contraints d’enquêter sur cette affaire afin de prouver leur innocence:
Suivant d’abord la piste dangereuse du Rédempteur (Gith véritable à l’origine d’une attaque sur la Loge), ils interrogent un de ses “disciples” sans résultat.
Renseignés par un cartographe, une autre piste pointait vers d’éventuels ravisseurs: le Cri. Une organisation mercenaire spécialisée dans l’enlèvement discret. Ethan enquéta et remonta jusqu’aux cartographes…
Parallèlement, c’est le premier jour de la Dîme, le jour de l’Hommage:
Baal, général Diabolique, seigneur du premier cercle remonte avec une escorte la grand route vers l’Assemblée pour rendre hommage aux Signeurs. C’est au milieu de cette parade que les Choasitectes choisissent de faire leur Surprise annuelle, attaquant le convoi. Au terme d’une bataille effrayante, les personnages ayant choisi de tenter de sauver la population, le Factol des chaositectes vint saluer l’Archidiable.
Ils apprennent le lendemain que les cartographes ont effectivement enlevé Aisha Senesethal à son domicile mais qu’un autre membre de la guilde, Aliéniste et fasciné par l’expédition Pickmann l’a à son tour enlevée. Après un passage monotone en Mechanus malgré tout le soutien de la guilde, ils trouvent une des études de l’Aliéniste mais il est absent. Ses elèves les renseignent sur une seconde étude dans les jungles pourpres de Carcères.
Une habitante de Sigil, spécialiste des gith et au nom tellement bizarre qu’il ne sera pas écrit ici pour l’instant, a été enlevée.
Une courte enquête nous apprendra que son ravisseur est un membre important de la Guilde des Cartographes. Devinez qui n’est pas content de s’être fait rouler dans la farine ? Le boss des Cartographes.
C’est lui qui va donc nous embaucher pour “régler le problème”. La première adresse qu’il nous donne se trouve en Mechanus. Le voyage se passe sans problèmes (mais d’un chiant !)… Mais le vilain méchant (ai-je dit que c’est un aliéniste ?) n’est pas là ! Et pour cause, il s’agit juste des quartiers de ses apprentis. D’ailleurs y’en a un de moins maintenant.
Sur place nous apprenons l’emplacement de sa vraie planque : en Carcères, dans la Jungle Pourpre. Il y a donc de la grosse expédition à préparer… C’est même la première fois que l’on va embaucher des mercenaires.
Puis l’expédition, par Faunel, les Beastlands, et au final Carcères.
Les miradors qui gardaient le portail n’ont pas fait un pli, les ‘leth non plus. Deux heures de marche dans la jungle (acide, toxique en-veux-tu-en-voilà) plus tard, nous sommes en vue de la tour du mage.
L’assaut fut brutal, le poison des salopards d’en face aussi. La tour était tout aussi intéressante, avec des pièges à la con, une fixation malsaine sur l’acide et les autels dédiés à des horreurs poulpiques, tentaculaires, impies et blasphématoires. Parlant d’horreur, le sous-sol de la tour en retenait une belle! Tellement qu’elle a failli me bouffer (et se réveiller par la même occasion). Je me refuse à la décrire et même à y repenser. L’important est que la tour servait à l’emprisonner (un puissant rituel de Haute Magie) et que notre ami l’aliéniste (RIP) voulait la libérer en se servant de la ‘princesse’ lors d’un sacrifice.
Simplifions : nous avons gagnés, et les mercenaires survivants nous ont aidé à porter le butin.
Puissante magie. Maman…?
“Ceux qui se sont éloignés de la lumière de l’Unique trouveront fables et mythes pour maintenir l’illusion, masquer leur ignorance et se complaire dans l’ombre au-delà de Sa lumière” Les Ecrits IV, 45-32
point de vue de Sylve
Je déteste voir a quel point nos recherches peuvent être interrompues par des troubles sans importances… Je déteste encore plus lorsque ces troubles sont important.
Nous cherchions à trouver Aisha Senesethal, spécialiste reconnue es-Giths, et personne plus qu’appréciable à mon goût (peut être que j’ai l’intime conviction d’être en contact avec des êtres au moins aussi bizarres que ceux avec lesquels elle semble en lien). Le but originel de cette recherche n’a que peu d’importance, il suffit de dire qu’il s’agissait de nos recherches planaires et sur la haute magie. Toujours est-il que lorsque je me rendais a son domicile (que je n’avais pas visité depuis quelques temps), je retrouvai ce cher aasimar dont le nom m’échappe. Il semblait… contrit… et très gêné… Il m’introduit non pas auprès d’Aïsha mais auprès d’un dénommé Anaximandre : une sorte d’humain a demi méchanique à la lignée sans doute influencée par Méchanus ou Arcadie.
Il se présenta comme quatrième mesure de l’Harmonium, et affecté a l’enquête de la disparition de la dénomméeAisha Senesethal. Outre la surprise que cela m’évoqua, il ajouta que nous étions (et plus précisément que j’étais) suspectés d’être mêlés de près ou de loin a sa disparition. Plutôt de près en fait. A dire vrai, nous étions les derniers a avoir rencontré Aïsha. Cela provoqua donc un mélange entre une colère malvenue et un choc malséant… Après une courte discussion durant laquelle je remerciai les sept cieux de l’absence d’Ethan, il nous alloua le bénéfice du doute et nous laissa “enquêter”, dans la mesure où nous pouvions sans doute œuvrer dans des milieux dans lesquels lui-même serai sans influence. Il insista toutefois pour rencontrer mes deux comparses : Ethan et Gordan. Il me donna pour point de rendez-vous un bar des environs.
Je n’ai donc pas hésité a revoir mes compagnons pour les informer dès mon retour au Disque-Monde (auberge des Cartographes avec lesquels Gordan est en très bon termes). Eux même en profitèrent pour m’apprendre qu’une attaque avait eut lieu a l’Asile, et que parmi le nombre des pertes nous pouvions compter un certain cartographe rentré des royaumes lointains. Celui-là même que nous interrogeâmes dans notre projet d’Armaghast. Tout cela semblait tourner autour d’un Gith particulièrement effrayant et puissant qui semblait vouloir aussi la peau d’Aïsha. Et la boucle est bouclée…
…ou presque. Après que mes compagnons se soient soumis a l’inquisition d’Anaximandre, nous avons commencer notre enquête et elle semblait mal engagée : c’était une course dans des milieux que nous ne connaissions pas avec des ennemis que nous ne connaissions pas alors qu’ils avaient un temps d’avance sur nous [note d’Ethan : ce qui, au final, n’a pas beaucoup changé nos habitudes]. Les cartographes, intéressés par cette affaire a deux titres (et bientôt a trois titre, comme pour confirmer cette règle des trois dont tout le monde parle) nous informa de la présence d’un deuxième groupe ennemis : des mercenaires de l’enlèvement.
Je m’occupais donc de me renseigner sur les Giths pendant que Gordan et Ethan allaient faire quelques recherches sur ce groupe des bas quartiers. Avant cela, nous prîmes un peu de temps pour assurer nos arrières, allant discuter avec Gar-An, un demi orque de la mort rouge avec lequel nous avions sympathisé. Ceci fait, nous nous séparâmes donc. J’allais au Dôme des Sensations et je me suis renseignée auprès de Trois-plans-alignés. Il m’indiqua qu’un vrai Gith d’une cité des limbes recrutait les giths habitants de Sigil, leur promettant le droit au retour dans les cités des limbes.
De leur coté, Gordan et Ethan en apprirent un peu plus sur ces ravisseurs professionnels. Ethan eut même pour renseignement un lieu de rencontre et de rendez-vous entre la ruche et le bas quartier. Il suivit donc la piste et pu apprécier les méandres des bas-fonds dans une certaine horreur. Gordan, elle, revint me trouver peu après. J’avais alors eut un endroit où un rendez-vous avait été donné et où je pensai pouvoir retrouver Aïsha prisonnière. Encore un coin des bas quartier. Nous nous y rendîmes donc et menions une investigation… On peut dire une investigation musclée, en fait. Une sorte de zone résidentielle où les âmes perdues semblaient rejoindre les criminels de bas étages. Gordan me sortit d’ailleur d’un pétrin dans lequel je m’étais fourrée de manière fort expéditive.
Toujours est-il que nous finîmes par trouver notre objectif : la planque des Giths. Je ne saurai dire combien étaient sur place, mais un seul fut repéré. Chose particulièrement surprenante dans la cage, il s’enfuit par une porte dimensionnelle… Là, j’étais bluffée… une téléportation au milieu de Sigil…
Bon, cela ne nous a pas empêché de le retrouver et de le faire parler. Il était complètement fanatisé, voyant son retour dans la cité des limbes comme une sorte de paradis dans lequel il irait même a travers la mort. Cela aurai pu être vrai, a ceci près que la Gith des Limbes lui avait sans doute monté un bateau gros comme un destroyer planaire Tanar’ri… Mais surtout, et c’était ce qui nous interessait le plus, il ne savait pas où était le Gith des limbes et ils n’avaient pas et n’avaient jamais eu Aisha Senesethal entre le pattes griffues.
Donc, retour a la case départ. On se retrouve et on recommence l’enquête en partant de l’asile. On retrouve sur place Anaximandre et on lui remet notre prisonnier. Il nous apprend a l’occasion que nous savons des “ombres”. Des gens de la mort rouge (sans doutes) qui suivent chacun d’entre nous tant pour notre protection que pour nous surveiller (encore que je sens que ma naïveté a encore été mise a contribution, et que c’était sans doute plus pour nous surveiller et nous intercepter s’il s’avérait que nous nous montriâmes coupable). Parmi eux, une vieille connaissance :Gar Ak, le frère de Gar An. La réaction étrange d’Ethan finit par nous mettre le Limlim a l’oreille et Gordan et moi avons fini par lui faire dire qu’il l’avait vu dans les bas-fonds lorsqu’il enquêtait, et que le demi orque était en fort mauvaise posture (torturé sauvagement par des sicaires dans un bar) [note d’Ethan : c’est un peu dommage qu’ils ne l’aient pas fini quand même…]
Pour en revenir a nos sujets, et vu que nous avions remarqué la capacité du Gith a se téléporter, je me suis livré a quelques expériences d’invocations… elles ont fonctionné… Allant prévenir toutes les personnes que je connaissais, j’appris que c’était sans doute une faction que avait pu obtenir cette effet, et sans doute pour la venue de Bel, seigneur de la première strate de Baator. Il venait rendre l’"Hommage" au Signe de l’Un. Nous nous attendions donc a un cortège du tonnerre. Nous fîmes donc une pause dans nos investigation pour admirer le cortège. Ce fut en effet détonnant…
Bel arriva du haut de ses quatre mètres avec une cohorte forte d’une soixantaine de diables en ordre de marche et suivit l’axe principal de Sigil. Il passa devant la plupart des grands bâtiments de la ville, et la plupart des factols en profitèrent pour lui rendre hommage. Il était quand même bien surveillé par le déva astral de Sigil. Puis, ce fut l’apocalypse. Des invocations fusaient dans tout les sens, des barbares décérébrés aux hachoirs sanglants apparaissaient en criant “SURPRISE!!”, puis explosaient en un bain d’acide lorsqu’ils étaient abattus. En même temps, des mages entropistes commençaient a invoquer et a contrôler une sphère d’annihilation, et le tout fut renforcé par une charge d’Indep’ complètement demeurés partants en pièces détachées lorsqu’ils heurtaient la phalange diabolique. Nous fîmes de notre mieux pour sauver ce qu’il y avait a sauver, abattant un ou deux des mages invoquant la sphère d’annihilation, faisant des zone de protection avec l’aide de l’Harmonium, et essayant de soigner ou d’aider ceux qui se présentaient.
Lorsque tout se calma enfin (je garderai quand même un souvenir mémorable du combat entre l’ange et un marilith hargneux), nous arrivions devant l’assemblée, où les portes étaient ouvertes pour recevoir l’hommage. Juste devant, alors que Bel s’avançait seul, une sorte de Gnome apparu face a lui, s’inclinant humblement en lui disant “J’espère que ça vous a plu”, puis il disparu. C’était, d’après la rumeur, le factol des Xaositèques… Bel rentra dans le bâtiment, et les portes se fermèrent pendant une dizaine de minutes. Il sortit lorsqu’elles s’ouvrirent, et nous fîmes le voyage retour jusqu’au portail d’arrivée. La journée fut longue, et nous étions épuisés de nos combats et du stress ambiant qui avait pu régner là dedans. A notre retour au Disque-Monde, le maitre de la guilde des cartographes (un minotaure) nous signala qu’il désirai nous voir pour l’affaire d’Aïsha Senethetal. Nous traversâmes donc la rue dès notre réveil pour apprendre quelques révélations…
Tout d’abord, il nous appris que c’était eux qui avaient enlevé Aïsha. Leur but était de la protéger. Mais elle leur fut enlevé a eux aussi par un mage de leur guilde, étudiant des royaumes lointains. Celui-ci avait même volé un certain nombre de documents qui relataient le voyage du cartographe mort a l’asile. Ce journal n’avait que peu de copies, et le maitre cartographe était fort contrit de la situation actuelle. Il nous demanda donc de retrouver cet aliéniste, de lui enlever Aïsha et le journal, et éventuellement de lui faire la peau ou de le ramener. Il connaissait sa planque sur Méchanus dans le “Coffre” : sorte de prison des inéluctables et il savait aussi qu’il avait trois apprentis. Il nous donna une sorte de charme a clef multiples et un contact sur Automata, la ville portail de Méchanus pour que nous puissions nous y rendre.
Le voyage fut… intéressant… En fait, je ne vais pas vous compter les aléas d’Automata (a part une auberge, tout est réglé là bas comme une horloge) mais je ferai une petite note sur notre voyage dans Méchanus même. Le voyage se passa deux jours durant avant d’arriver a une sorte de cité modrone, endroit où nous devions tourner a droite. (c’est a dire qu’avant, nous allions tout droit. Et c’est rien de le dire). Là, les modrones nous encerclèrent (sans pour autant nous menacer) et leur “chef”, ou ce qui s’en approchai le plus nous, interpella. Il nous demanda des nouvelles d’une gueunaude au passif chargé (Négrette crache-pue) car celle-ci ne se trouvait a priori pas à l’endroit que nous leur avions indiqué lors de notre procès. Après de courtes discussions, nous arrivâmes a un consensus : nous les appellerions dès que nous serions en sa présence proche.
Nous repartîmes donc en prenant a droite comme cela nous avait été indiqué par notre contact a Automata. Nous finîmes donc par arriver au “coffre” sus-mentionné. Peu avant, nous avons pu admirer une sorte de très gros fiélon comme enfermé dans un bloque de cristal entouré d’un groupe de Marut. A l’entré du coffre, un autre marut nous demanda la raison de notre venue, nous lui présentâmes la clef fournie par les cartographes, et il nous transporta sur une plaque volante jusqu’au portail d’entrée de ce que nous pensions être le repère du mage cinglé. Nous sommes bien tombés sur des mages cinglés, mais pas sur le bon…
En effet, a la sortie, trois silhouettes nous attendaient genoux a terre (je précise que nous étions invisible). J’ai dès ce moment commencé a me douter de l’absence de notre cible… Ce fut confirmé lorsque, ne voyant toujours rien se manifester après la fermeture du portail, l’un des acolyte se releva et s’exclama “maître ?”… Puis, j’ai commencé a parler et ils comprirent eux aussi que ce n’était pas le retour de leur maître. Après quelques bravades de leur part et un grand moment de solitude dans la douleur de Gordan, l’un d’entre eux était mort, une bête du chaos était relâchée et la plus… cohérente des apprenties du mage cinglé acceptait de parler. Elle nous remis la copie partielle du journal des cartographes et nous indiqua les trois autres “havres” de son maître. Celui où elle pensait qu’il était se trouvait dans la Jungle Pourpre des Carcères… Encore beaucoup de bonheur en perspective…
Plus exactement, il fallait passer par trois jours de marche sur Faunel pour atteindre le portail qui nous mènerai a la jungle pourpre. Sur place, son havre le plus important était protégé par une cinquantaine de mercenaires vétérans des guerres sanglantes. Son familier était un Canoloth (sorte de chien de garde aveugle et violent des ‘Loth) et la zone était sous le contrôle des ’Leth (et pour cause, ce sont les gardiens des Carcères). Evidemment, les apprentis étaient aussi bien protégés que prisonniers dans le Coffre, et aucun ne voulait nous suivre (je doute de toute manière que ça ai été pratique ou sain). Nous repartions donc un peu déçus en sachant qu’un sale quart d’heure nous attendait sur Carcères…
Retour, donc, sur Sigil sans apprentis mais pleins d’infos. Outre cette planque, la jeune apprentie nous appris qu’il en possédait deux autre et nous en donna la localisation, au cas où il ne soit pas sur Carcères. Après avoir expliqué le cas a nos divers patrons (le minotaure des cartographes, mon factotum des sensates et Anaximandre), nous établîmes un plan d’action. Nous nous reseignâmes longuement (pas trop quand même) sur ce que nous risquions d’affronter sur la jungle pourpre et avant ça sur les beastlands, et je finis par prendre la décision d’engager des mercenaires… mais pas avec notre argent.
En fait, j’ai exposé mon plan d’action a Anaximandre, qui en apprécia sans doute l’efficacité (je doute qu’il puisse apprécier l’humour, de toute manière) et il nous fit parvenir 20 000 pièces d’or pour nos frais divers. Nous engageâmes deux compagnies, donc. La première était composée de primaires récemment perdus sur Sigil, mais a priori compétents. La deuxième était un peu plus expérimentée appartenant à une plus grosse compagnie, le Bouclier Pourpre. Parmi eux, un sorcier gnome un peu dur en affaire négocia une sévère prime sur le matériel récupéré. Pour finir, un allumé des sensates se proposa de nous accompagner. Après nombre d’allées et venues dans Sigil, Gordan se souvint d’un rendez-vous qu’ils avaient pris le soir même avec des cartographes habitués au Carcères. Nous avions presque six heures de retard…
Mais s’y rendre fut pour moi une révélation… toute personnelle, la révélation… Une sorte de gnome était déjà bien rond à force de nous attendre dans l’alcool et un… un homme exceptionnel… un apollon du plan de l’air, lui, était en grande forme. En très grande forme, même. J’ai passé une soirée mémorable… Qui finit en nuit impérissable… puis en mâtinée très douce… bref, pour ma part, c’était un moment inoubliable.
Ah, oui, et il nous donna quelques informations intéressantes, comme quoi un contingent de diables des guerres sanglantes se trouvait à proximité de notre cible. De plus, dans les parages, une sorte d’alchimiste empoisonneur semblait avoir pris résidence. Outre tout ceci, les informations se recoupaient tout le temps : c’était vraiment un plan très chiant. Les plantes non carnivores généraient un acide puissant, les pygmées locaux mesuraient un peu moins de trois mètres de haut, se rendaient invisible, dissipaient la magie et résistaient à tout sauf aux éclairs, et il n’y avait pas d’autres moyen de partir de là que d’utiliser un portail.
Et nous partions à une douzaine vers là bas. Je prévenais lors d’une ultime réunion tout le monde du gros de la mission et des risque encourus.
suite quelque part par ici Looking for the Link 2